Des têtes de mélophores et un message

Un message avait été épiné sur la tête de deux mélophores à l'entrée de la banque.


Sur la tête de l'homme on pouvait y lire :

Citation :

- Toi qui te laisse submerger par des désirs et tes envies, qui pousse plus loin l’irrésistible, qui est prêt à sacrifier la vie sur l’hôtel de l'esthétisme, que la gourmandise n’a plus de secret, tes milles et un caprice doit être exhaussés, les passions sont maîtresses de ta vie.

Sur la tête de la femme on pouvait y lire :

Citation :

-Toi qui voit dans le cœur des gens les causes de leurs pêchés, ne juge point sans comprendre les motivations des pêcheurs. Ce qui est parfois de prime à bord malsain peut s’avérer avoir un bon fond, à toi de le guider vers la lumière.

Une note était affiché un peu partout en Ville.

Citation :

Voyez les pêcheurs punis de leur crime, sachez que personne ne serait contourné la voix des Dieux. Vous qui vivez tranquillement, trichant, mentant, trop bon, aidant... Vous qui êtes en contradiction avec vos Dieux, vous serez pardonné par delà de la mort, que ce message vous atteignes. Nul n'est à l’abri. La messagère ailé de la mort viendra tôt ou tard, vous guidez.

On racontait que la dinde enfermé par les mélophores aux geôles de l'arène avait succombé d'un manque quelconque et que ce n'étais pas de nourriture.

Le melophore vetu de noir et de rouge était passé sur la scène pour y ramasser les têtes qu'il mit dans des sacs , pour les deposer a la caserne a un endroit respectif.

Il retourna sur la scène par la suite , pour interroger les gardes , qui savaient ce faire plus discret , a savoir quel direction le coupable aurait pu prendre, de mouvelles indices , ou des complices ayant pu être remarqué.

Il prit aussi une de ces notes accroché dans la ville ,pour la garder pour l'enquête.

Le message sur la tête de l'homme fit légèrement réagir la fée, elle connaissait ses mots, elle les avait déjà entendu et déjà vaincu... Elle eut un murmure

"Piye... sont-ils donc tous des serviteurs des vices ou?"

Elle fronça les sourcils et s'éloigna de la banque.