Il fessait jour a présent, le soleil pointait le bout de sont nez il devait être 8h00. La brume commençait a se dissipé.
C'est sur un chemin étroit et boueux que le nain trottinait la mine basse, aider par une canne de fortune fait sans doute d'un bâton trouver au abord de la route. Il ne semblait pas au mieux de sa forme les vêtement en lambeau le teint blafard, il avançait en grommelant quelque élucubration en langage nain. Le vent frais du matin rougissait c'est joue contrastant avec sont teint pale et livide.
Il n'aurait fallut de presque rien pour que le nain ne s’affaisse sur le chemin face première a bout de force. Mais aurait t'il pus seulement se le permettre qui l'aurait alors trouver au milieux de la foret...
Comme si le destin lui même écrivait l'histoire du jeune nain c'est au bruit des sabot qu'un homme passa a c'est coté. Il ne passait pas a tous rompre il avançait simplement d'un pas sure. Arriver a l'hauteur de notre protagoniste il l’interrogea ainsi de la façons la plus simple et amicale qui soit: '' Comment ça va l'ami?''
Le corps est une machine complexe et elle sait bien faire les chose cette force qui le portait jusque la s'estompa aussitôt devant se ton amical, le sentiment de survie se réfracta. Oglo savait maintenant qu'il était en sécurité...
Les jour se succedaire, entrecouper de quelque bride de souvenir flou une grande ville au prise par les flamme... La traverser des eau houleuse sur un navire... L’horreur des vague qui balayait le pont du navire... puis le sentier étroit et interminable. Quelque fois le nain ouvrait les yeux entre deux souvenir cauchemardesque, il voyait l'homme se promenant dans ce qui semblait être une cabane de fortune. Le nourrissant d'une mixture infecte ou lui fessant boire quelque gorger d'eau pour l'hydrater.
Un soir orageux Oglo fini par sortir de sont état léthargique, l'homme a sont chevet fumer la pipe au bord du feu. Quelque pot en terre jonchait le sol récupérant les goûte d'eau qui passait par le toit de la cabane de fortune, c'est l'homme qui pris d'abord la parole.
''Alors on a fait de beau rêve'' le ton était toujours aussi amicale et rieur.
Il fallut quelque seconde au nain pour prendre c'est repère et il ne répondit pas directement a la question se contentant de demander ou il se trouvait.
'' Vous êtes chez moi, ou du moins mon nouveau chez moi... vous n’êtes pas le seule survivant monsieur le nain. Nous ne somme pas des millier mais nous somme encore en vie. Vous savez nous devons être de vrais racaille pour être encore ici puisque les meilleurs partent en premier.'' sur c'est mot l'homme s'esclaffa visiblement amuser.
Le nain lui resta stoïque, cherchant a comprendre se qui se passait se qui ne passa pas inaperçue.
''Vous sembler perplexe mon chère ami, peut être pourrais je vous accompagner quand la pluie cessera nous pourrions rejoindre votre famille ou vos ami. Vous sembliez bien déterminer sur le chemin.''
Famille, ami... Bien entendu le nain connaissait c'est mot mais il n'avait aucun souvenir de sa famille et de c'est ami s'il n'en avait seulement jamais eux. Les quelque bride de souvenir durant sont sommeille semblait être la seul chose qu'il pouvait se rappeler.
Est maintenant qu'allait t'il faire?
Mar 13 Déc - 23:39