Campement de la Seigneurie

Des affiches avaient été mise un peu partout dans la colonie et sur les grillades des limites du nouveau campement de brigand.

Citoyen de la colonie Sud'Île, sujet des seigneurs de Tressan.

Premièrement, son Seigneur Särmedos de Tressan tient premièrement à féliciter la milice pour son bon travail accomplit jusqu'à maintenant et le Hall pour son accueil généreuse.

Malheureusement, son Seigneur Särmedos est présentement en deuil face à la perte de l'un de ses chefs-d’œuvres, le Troisième qui aura périt dans l'explosion du galion, suivant une expérience ayant mal tournée... Il s'agit ici, d'un acte horrible commis par un saboteur. Nous invitons tout citoyen de l'île à venir nous rapporter information quant au possible saboteur, si vous en avez. Sa Seigneurie saura récompenser toute aide en ce sens.

Ensuite, son Seigneur Särmedos aura entendu les plaintes de la colonie, via la Milice qui aura su faire savoir le comportement de son Second, un eodh avec des besoins comme n'importe quel homme. Le Second sera ainsi, fouetté cinquante coups pour son harcèlement envers les femmes de la colonie et son attitude plus que déplorable, son Seigneur Särmedos tient à s'excuser et se montrera persuasif avec son Second.

Finalement, nous avons eut la triste déception d'apprendre que deux forces armées seraient présentement en train de monter un coup d'état contre le Second et Särmedos lui-même. Aller à l'encontre de notre Seigneur est un crime grave et c'est pourquoi, les gens qui seront cité plus bas, seront dès lors, recherché par la Seigneurie pour recevoir la sentence indiqué. Nous remercions notre informatrice pour nous avons fait parvenir, avec témoins, des témoignages en ce sens. Encore une fois, la capture des individus sera fortement récompensé.

Toutes personnes cités plus bas, étant recherchée pourra se rendre pour plaider sa cause et amortir sa sentence. Dans le cas d'une capture, il sera jugé coupable jusqu'à preuve du contraire et subira la sentence mentionné.

Les fiches étaient l'une à la suite de l'autre.

Citation :

Khejri du Sénacle de la forêt, fée noire.
Chef du groupe principale menaçant, incitation à la violence, planification de la mort du Second, menace de coups et blessures contre le Second dans le but de tué.
Sentence prévu : Capitale.

Aethyr, elfe
Planification de la mort du Second, menace de coups et blessures contre le Second dans le but de tué.
Sentence prévu : 20 coups de fouet et marqué au fer rouge, du sceau de Tressan.

Nishant Hindi Nasrin, membre du Sénacle de la forêt, fée noire.
Planification de la mort du Second.
Sentence prévu : 10 coups de fouet et marqué au fer rouge, du sceau de Tressan.

Sathyr, humain
Planification de la mort du Second.
Sentence prévu : 10 coups de fouet et marqué au fer rouge, du sceau de Tressan.

N.B.: Dans le cadre des miliciens ciblés concernant le deuxième groupe, nous prendrons ententes avec le Commandant Achyl Ezekiel, relevant de ceux-ci, afin d'établir une peine juste en fonction de leur apport à la société de Sud'Île et la bonne sécurité de la colonie.

Nous remercions la colonie de Sud'Île pour sa bonne collaboration.

Edion, Scribe du Seigneur de Tressan, Särmedos.
Särmedos de Tressan

L'adolescent lu une des affiches et ouvrir de grands yeux puis s'écria

- J'ai fais quoi? Et ben, ils ont l'accusation facile. Et Khejri a fait quoi? Non mais ils ont fumé quoi? Ben le voilà le coup fourré de Corbeau. J'ai rien avoir avec toute cette merde, j'étais entrain de dîner tranquillement avec mes amoureux!
Vraiment... Tu te rends compte Gysèle? J'ai rien fais et je dois être fouetté?

Encore un coup en partenariat avec la milice, ils nous détestent tellement alors qu'on veut juste vivre en paix dans la nature.

On sait même pas à quoi il ressemble ce second là. Pfff, pathétique. Elle est belle la survie et le fait de préserver le peu de gens encore en vie.

Qu'ils aillent se faire foutre, moi je me casse.

L'adolescent repartit en forêt, écœuré par tant de bassesses et de mensonges. S'ils voulaient le punir, ils devraient allé le chercher et il s'expliquerait avec ce fameux Sarmedos qui se faisait bien entuber et manipuler.

Pour une fois Ezebeth ne rigolait pas suite à la lecture de l'affiche.

- Mouais... Ch'suis pas dans le genre ''chasse à l'homme''... Des monstres, des démons, des gargouilles ça c'est dans mes cordes... Mais chasser des fées et des elfes...

Elle se massait le menton, le doute dans son regard. C'était la première fois qu'elle n'avait pas envie de taper sur quelque chose.

- Ch'pense que j'vais pas men mêler cette fois, s'pas mon problème de toute façon. Yep.

Parfois même les pires créatures ont des états de conscience qui les font douter.

Il était une elfe noire en Sud'ile qui avait passé bien des années à se faire enseigner les arcanes politiques des elfes noires...
Et, se dotant de son arme la plus acérée, sa plume, elle se permise de faire suivre une missive pour "Sa Seigneurie" avec tout l'art politique de son éducation classique.

Sarmedos était un elfe noir lui disait-on... Il n'y avait qu'un seul moyen de vérifier...

Citation :

A sa Seigneurie ou ses représentants en Sud'Ile,

Afin d'écarter tout malentendu quant à mon identité, je vais la résumer sommairement. Je suis Vierna T'siir, ancienne Prêtresse des Vices et membre de l'Eclipse, organisation siégeant au rudimentaire Conseil de Sud'Ile. Cette missive est émise à titre individuel et ne saurait être considérée comme représentative de l'opinion de l'Eclipse à titre d'organisation.

Ayant été impliquée dans une tentative progressive d'établir et faire respecter des lois, de bon sens principalement, en Sud'Ile, je ne peux demeurer insensible à la crise que nous traversons en ce moment.

Vous semblez convaincus de la nécessité d'appliquer des sanctions envers un ou plusieurs individus soupçonnés de fomenter un complot contre votre Second et vous même.

Il y aurait donc condamnation sur la base de soupçons, voire éventuellement d'aveux, et non d'actes réels prouvés.
De plus, la teneur de votre liste de suspects – coupables présumés en votre cas- tiens d'avantage de la liste de doux rêveurs (3 fées, un ancien barde, etc) vivant en leur petit univers parallèle que de menaces tangibles et réelles.
Je ne peux croire un seul instant que votre vigoureux second ou vous même puissent croire à un seul instant que ces gens là sont en mesure de menacer votre existence de près ou de loin. Soyons réalistes de grâce, moi-même je ne serais capable que de sourire si on prétendait que ces gens là souhaitaient ma mort, et je n'ai une once de votre toute Puissance.

Le terme de « menace » me semble très clairement dévoyé pour les considérer, et terriblement insultant à l'égard de votre personne et de vos gens.
Les condamner serait, je le crains, un outrage à votre toute puissance, en laissant à penser aux gens de Sud'Ile que vous avez pu vous sentir menacé vous ou votre second par ces gens là. Nous savons tous deux que c'est absurde, et que vous ne sauriez avoir peur de ces gens là.


Jusqu'à cette déclaration publique de votre Scribe, je faisais partie de celles vous pensant infaillible et tout puissant. Pour un peu, cette affiche sèmerait le doute en mon esprit si j'étais de ces crédules.

Je préfère croire que votre scribe a outrepassé ses fonctions et qu'il sera sévèrement corrigé pour vous avoir ainsi publiquement humilié en laissant à croire que vous craigniez un ramassis de pixies et de rêveurs au point de préventivement les punir.

Vous êtes un elfe noir, tout comme je le suis, et nous avons vraisemblablement tout deux eu éducation conservatrice sur ce type de sujets.

Condamner celui qui n'a encore rien fait est lui donner un pouvoir qu'il ne possédait pas avant celle-ci. C'est laisser penser à tous qu'il a fait naître chez vous la Peur. On ne fait pas exécuter quelqu'un qu'on ne craint pas, on ne fait pas fouetter des gens dont la menace prête à nous faire sourire en nous resservant un verre de vin.

Pendez donc votre scribe et laissez donc les faibles comploter dans leurs rêves.
Je ne vous crois pas plus faible que moi, et je n'ai pourtant jamais levé un doigt pour faire rosser ces pouilleux en armure du Culte des Vertus d'autrefois qui me vociféraient leurs menaces.
Si une femme telle que moi n'a pas eu peur que des couilles leur pousse durant la nuit, j'ose à croire que l'elfe noir que vous êtes ne tremble pas la nuit car des pixies complotent contre lui.

Le contraire me désolerait.

Cordialement,

Vierna T'siir

PS: Si votre Second se faisait occire par cette liste de rigolos, c'est qu'il serait par trop minable pour mériter d'être votre Second.
Soyons sérieux... des pixies...
Nous sommes des elfes noirs, et des rêves en rose ne sont pas prêts de nous menacer.

Citation :

À la conseillère Vierna T'siir,

Sachez que ce ne sont pas les seuls crimes qui furent porter à nos orreilles, ni les seules tentatives de contrer les actions de notre Seigneur Särmedos de Tressan en ses terres. Sachez d'ailleurs, que pour le Seigneur Särmedos, qui valide chacune des lettres pour les signés lui-même, fonctionne sous le principe de coupable jusqu'à preuve du contraire et non le sens inverse.

Il faut savoir que bien des gens semblent, comme vous même, ne pas être capable de faire preuve de respects et accepter leur position face au Seigneur Särmedos de Tressan et de par ce fait, assez de gentillesse fut faite pour épargner ceux ayant fait affront.

Sachez que les racines d'elfes noirs de son Seigneur Särmedos sont aussi, sujet sensible et détesté de celui-ci et qu'il vaut mieux éviter de toute part, ce sujet des plus irritant.

Maintenant, il est trop tard, un membre de la milice et ceux mentionnés devront répondre de leur crimes et nous avons offert le dialogue dans le cas qu'ils viendraient qu'à se rendre. Ce n'est pas de la Peur qui fait agir notre Seigneur ainsi, mais plutôt du raisonnement, à force de cracher en l'air contre le vent, le vent finit par arrêter de tourner et un jour, il est possible que le cracha vous reviennent au visage. C'est ce qui maintenant, arrive.

Nous encourageons ses criminels à se rendre par eux-même pour s'expliquer, tout comme le fait cette dénommé Nati, qui dit être l'investigatrice des menaces de mort.

Edion, Scribe du Seigneur de Tressan, Särmedos.
Särmedos de Tressan

Citation :

Scribe,

Je vous serais gré de transmettre telles qu'ils furent les propos de ma précédente missive à votre Seigneur et Maître.
Si votre illettrisme a été source de méprise de mes propos, laissez moi les exprimer en termes plus clairs.

Sa Seigneurie n'a pas à douter de son pouvoir sur Sud'Ile, il est évident que personne n'est à même de lutter, d'autant que la population de l'île n'est pas unie.

Dès lors, chercher à éteindre une misérable étincelle en jetant un tombereau d'huile dessus reviens à allumer un grand brasier pour que tous ces groupes désunis viennent trouver la flamme en un même lieu, pour une même cause, et s'unissent enfin, mais à votre détriment, à notre détriment à tous.
Cela n'est peut être pas évident pour vous, scribe, mais j'ose croire que pour votre Seigneur cela l'est.

L'Eclipse cherche à maintenir la paix sur Sud'Ile, et comprend que nous n'avons nul intérêt et capacité à nous opposer à sa Seigneurie. Au contraire, l'étendue de son savoir, de ses connaissances, de sa puissance, de votre puissance, serait à même de nous prémunir des dangers de la Gargouille.
Il y a une volonté réelle de bien des gens en Sud'Ile de travailler avec sa Seigneurie.

Mais que voyons nous pourtant au quotidien ? Des figures majeures et pacifistes de notre communauté, comme Siv, menacée par un parasite mortel...
Un Second qui, au lieu de montrer l'exemple, agite son chibre nu sous mes yeux.
Que croyez-vous que cela puisse déclencher chez les plus faibles de notre Colonie sinon une crainte animale à l'égard des vôtres ?
Un idiot qui se croit menacé va chercher à se débarrasser de la menace. Cela reviens au chat qui griffe le dragon. C'est idiot mais naturel comme réflexe.
Des idiots ont pris peur de votre Seigneurie, de son Second, et ont pensés à le griffer.
Est-ce que noyer le chat et fâcher ses propriétaires est constructif pour autant?

Les figures fortes de la Colonie par contre, Siv, l'Eclipse, ont cherchés à travailler avec sa Seigneurie, y voyant l'apport possible pour notre bien à tous. En cherchant à humilier et fouetter nos faibles, vous mettez les « forts » dans une situation des plus problématiques.

Au lieu d'avancer ensembles pour venir à bout de la véritable menace, au lieu d'être une ressource pour vous, nous voilà tournés en ennemis bien malgré nous pour tant d'entre nous.
En réponse aux efforts de tant de gens en Sud'Ile pour établir les racines d'une civilisation, nous voilà ramenés en une logique bestiale incitant des réactions de bêtes. Œil pour œil, dent pour dent.

Je suis une elfe noire, tout aussi insultant que cela puisse être pour votre Seigneur, et je suis écœurée à l'idée de voir le semblant de Civilisation que nous tentons de bâtir être voué à devenir une harde beuglante sortant dans les rues torches et fourches en main, quand nous aurions tout intérêt à travailler ensembles contre notre réel ennemi commun.

Sa Seigneurie aurait tout à gagner à demeurer « au dessus de la mêlée », ne venant pas s'abaisser à traiter de ces menaces pitoyables et mineures, et exigeant que nous réglions cela nous même.

Je respecte l'intelligence de votre Seigneur, assez pour prendre le temps d'écrire ces missives en voulant croire à un malentendu de ses suppôts plutôt qu'à une erreur de sa part.

Je ne veux pas croire qu'il pousse aussi négligemment la colonie à prendre les armes contre lui quand nous avons bien mieux à faire. Pour des pixies foutre dieu !


Un véritable meneur pointe la direction à suivre, pas des boucs-émissaires.

Laissez nous manier le fouet de la justice pour punir nos moutons égarés, plutôt que d'en faire vos nemesis et de tourner vos interlocuteurs en Sud'Ile en de bien forcés adversaires.

Laissez nous punir les nôtres, restez au dessus de la mêlée.

Le grand Särmedos de Tressan est un mage, un scientifique.
Que sa parole soit là pour nous éclairer, non pour nous plonger dans les ténèbres de la barbarie d'où nous sortions à peine...
La plupart des gens ne comprennent pas, ne connaissent juste pas les enjeux... N'en faites pas un bête conflit entre un Seigneur "oppressant" et des serfs irrespectueux.

Il y a tellement plus en jeu...

Vierna T'siir

Citation :

Vierna T'siir, sachez de premier ordre, que le Seigneur de Tressan Särmedos lit, lui-même son courrier et m'indique quoi écrire. J'espère que cela conclura votre pavée d'insulte à son égard dans vos écrits.

Le Seigneur devra quitter sous peu, afin de retourner aux négociations saisonniers parmi les trois Seigneurs et sachez que son titre de Seigneur de l'île pourrait être perdu lors de ses négociations, rien n'indique qu'il restera votre Seigneur, changement de pouvoir est récurent parmi les îles contrôlé, après tout, chacun des Seigneurs travaillent pour le même Roi, Lui.

Concernant la problématique de menacer de vos citoyens, votre citoyenne Siv s'est elle-même porté volontaire pour être parasiter en échange de pouvoir être l'apprenti de celui-ci. C'était la condition et celle-ci, ayant tout le loisir du choix, à prise cette décision de par elle-même, personne ne l'y a forcé. De plus, noté que son dernier traitement anti-parasite fut émis ce matin, lors de l'aube et qu'elle en est débarrassé, avant même le décret. Ne parlez donc pas sans savoir, Vierna T'siir.

Dans un monde comme le nôtre, ou seul les forts devraient survivre, il est impératif d'exterminé les chats qui seront nuisances au monde. Sachez le, une nuisance nuisant à une communauté tentant de survivre, reste un poids mort, tout comme ce que font ses pixies inoffensives comme vous les mentionner. Särmedos ne tolère pas la faiblesse et l'inaction, contrairement au Gourou.

D'ailleurs, bon nombre de citoyen ont ciblé l'Ecclipse comme étant un poids mort à la colonie, forçant la prise de terrain, manipulant le marché immobilier et ayant accès à des décisions que des arpenteurs ne devraient pas avoir. Ceci est un problème à votre interne, mais des représentant du port et de la milice semblait de cet avis.

Le Seigneur Särmedos n'est pas ici pour vous guidez et vous montrer le chemin, il est ici seulement pour les informations qu'il a acquis sur les ruines et vu le manque d'intérêt par la Communauté du Savoir et ses rapports possiblement caché, comme mentionné par des membres d'autres groupes ayant déjà eut accès ou ayant accès à cette information, il ne considère plus cette île comme potentielle et la marchandera probablement entre Elias le Gourou et Ametchutalt la Sanglante.

Le Seigneur rappel que les gens peuvent se rendre afin de réduire le peine et en discuter, notre loi, en la Seigneurie persiste, celle du coupable jusqu'à preuve du contraire et nous avons plusieurs rapports et preuves allant à l'encontre des coupables et ainsi que certains miliciens.

Edion, Scribe du Seigneur de Tressan, Särmedos.
Särmedos de Tressan

Une nouvelle affiche fut mise en place.

Citation :

La demande d'arrestation des individus perduraient, mais les sentences étaient mise en attente le temps que le Conseil puisse potentiellement jugé d'une contre offre sévère contre les coupables, spécialement contre Khejri ou Nati, où l'un d'eux devait avoir la peine capitale selon la Seigneurie.

Vous pouvez remercier la diplomatie de l'apprentis de Sârmedos, Siv de Sovenghärd.

Edion, Scribe du Seigneur de Tressan, Särmedos.
Särmedos de Tressan

En apportant des bilans -nombreux- qui s'ajoutait au reste pour le seigneur elle faisait un peu la causette aux gardes qui s'y prêtaient sur l'aller et le retour. De petits détails, sans doute pour découvrir de leur bouche un peu du quotidien sous Sarmedos, affable sans se faire enjôleuse, répondant à leurs questions s'ils en avaient eux-mêmes. Parlant de la possibilité d'un pied à terre confortable à celui qui avait une famille. De richesses aux chasseurs de trésors avides. De combats contre les monstres les plus notables de l'île au chasseurs. Et de l'omniprésence des graines de cacao aux gourmets. Peut être pour qu'un peu, pour eux aussi, l'île trouve un attrait.

Elle aurait bien sur su prioriser une offre de soins magiques au seigneur blessé, entre-temps, vu les récents événements.

Avant de, bien sûr, retourner aux expériences et études. Le temps etait compté.