Ligne du temps [Trame principal de Terre Mystique] [Réservé à l'Équipe]

Vent violent et déluge
Depuis le levé du matin en approche de l'été, de vents violents avaient commencés à frapper l'île. La pluie venait à faire déborder les courants de petite rivières dans l'île, des innondations pouvait être observer ici et là. Entre autre, la caserne et quelques bâtiments, semblaient avoir perdu en hauteur, s'enfonçant de quelques centimètre dans le sol.

Une tempête semblait approcher.

Le départ d'un vendeur itinérant
Le vendeur de plantes et décoration avait fait ses valises et aurait quitter la tente marchande, racontait que le marché semblait trop risquer au vu de la tempête. Il aura néanmoins vendu 126 objets pour la modique sommes de 252 000 en 15 jours.

La flotte de Särmedos
Au vue de la tempête, un dôme magique semble s'être établit autour des trois galions principaux de la flotte. Les autres bateaux ancrés ici et là autour des trois galions, eux, semblaient vivre un calvaire en mer. Rien ne garantissait qu'ils survivraient tous à ce début de tempête.

L'ouragan
Les vents violents avaient formés quelques tornades en forêt. La tempête était à son plus terrible, certaines personnes qui avait pris forme animal comme un oiseau ou des fées transformé aurait perdu contrôle de leur vol disparaissant en forêt transporté par le vent.

La pluie continuait de créer des débordements de la rivières, inondant complètement les maisons sous-souterraines et les parterres de quelques maisons. Les maisons ayant un accès depuis le toit non fermé, avait vu leur étages inférieur accessible par la pluie, inondé.

Plusieurs maisons subissait des chocs de détérioration, plusieurs personnes parlaient d'être prudent lors de les sorties en plaine.

Fin de l'ouragan
La pluie avait finalement arrêté et le soleil avait percé sur l'île. La tempête avait terminé son passage et tout semblait être redevenu normal sur l'île, les créatures qui avaient apparu en forêt avaient, elle aussi, disparu avec le départ de la tempête, soit emporter, soit était-ce autre chose?

Une chose sûr, après un hiver glacial et une tempête de printemps, l'été qui venait pouvait réserver possiblement des surprises.

Flotte de Sarmedos
La flotte de Sarmedos au loin, semblait avoir eu de lourde perte par la tempête, plusieurs petits navires non protégé par le dôme qui venait de se retirer semblait avoir disparu, couler ou pire encore. Néanmoins, les trois galions dont le géant, était eux, intact.

Maison en ruine
Suivant la fin de la tempête, la disparition de la flore hostile, on pouvait constater que certaines maisons qui étaient abandonnées ou délaissés tombaient maintenant en ruine. La tempête ne les avaient pas épargnés.

Débarquement de Särmedos le Seigneur de l'île
Särmedos accompagné de ses deux capitaines principaux auraient foulé terre sur l'île. Au final des transaction, Sârmedos aurait élu domicile brisant le sceau de la Communauté des savoir, pour accéder au laboratoire alors que son Troisième, un capitaine avec une tête sans visage, surveillait les actifs au Hall.

Le Second quant à lui, aurait quitté le port avec les buches et les hommes restant, une chimère racontait-on, ressemblant à un homme lézard.

Maison en ruine suivant l'Ouragan
Les maisons non entretenus ayant subit l'ouragan avait finalement tombé.

Nouvel accès dans les ruines
Visiblement, une énorme explosion s'était fait entendre dans les ruines du Nord. On racontait qu'il y avait maintenant, une nouvelle section accessible...

Explosion d'un galion
Alors que les trois galions étaient au large du port. Une énorme explosion se serait fait entendre. On aurait pu y voir, un des galions prendre le fond, alors qu'une immense fumée provenait du galion principal, celui de Särmedos.

Qu'est-ce qui pouvait bien être arrivé?

Installation temporaire
Suivant quelques conseils, le Seigneur Särmedos aurait fait dépêcher des hommes sur la pointe Est de l'île. Ceux-ci s'affairait à installer un campement de fortune et des tours de gardes. Visiblement, quelques choses se tramaient avec le Seigneur de Tressan.

Castration d'un lézard
On aurait pu entendre des cris de rages dans le campement de fortune du Seigneur Särmedos, alors qu'une rencontre avec le nouveau Troisième nominé dans la flotte et le Second avait eu lieu. On raconte que lors des dialogues, de façon soudaine, un serpent serait venu sortir de la manche du Seigneur pour arracher le brakmar du Second.

Dans un cri de rage, celui-ci aurait eu le réflexe d'attenté à la vie du Seigneur. La lance de celui-ci, qui serait venu percer son abdomen, aurait causé une blessure identique au lézard, qui lui, se serait écrouler alors que le Seigneur aurait craché du sang. Celui-ci aurait eut droit à des soins magiques de quelques membres d'équipage.

Pendant ce temps, le Second aurait été enfermé, le temps qu'il se remette de la perte de son sexe.

Vents violents - Alerte tornade

Des vents violents auront mis à mal un peu la colonie, sans dégât heureusement. Une tornade avait commencé à se forme sur l'eau, la seule victime déplorable restait la vache qui avait perdu pied à la fermette et était partit vers d'autres horizons.

Arrivé de l'automne
La colonie avait pu constaté le début de l'automne. Les arbres n'avait pas commencer leur processus, mais lentement, la chaleur d'été diminuait.

Changement de Seigneur
Des bateaux avaient fait des haltes toutes la journée. Certaines personnes auront pu rencontrer le Seigneur Sarmedos avant son ultime départ, laissant dans le campement de fortune, de nouveaux membres, Le Patron et Elias le Gourou sur place.

Cadavre en forêt
La forêt semblait de plus en plus calme, la présence des animaux avaient été remarqué en grande diminution pendant la nuit. Au matin, parfois, on trouvait des carcasses de gibier dans les arbres ou vider de leur organe, gisant ici et là.

Quelques choses ou quelqu'un, rodait dans la forêt en quête de proie?

Attaque en forêt
Une créature aurait fait son apparition dans la nuit de la colonie, fuyant soudainement vers la forêt à l'interception de plusieurs personnes. Un groupe aura tôt fait de la traquer et revenir en piteux état.

On raconte que des bruits de cliquetis, des cris enragés se faisait entendre en forêt. Une ou plusieurs créatures avaient marqués son territoire, laissant au passage, trace de griffe imposante ici et là sur les arbres et monument en place.

Les gens l'ayant aperçu pourrait la décrire comme suivante :

Explosion au relais en forêt
Alors qu'une explosion mineur avait été entendu au relais, on avait pu entendre la longue plainte d'une créature et ses rugissements de colère résonner en écho dans la forêt. Celle-ci n'était visiblement plus d'humeur ou encore moins qu'elle l'avait été.

Fin de la terreur
Visiblement, après un assaut coordonnées en plein jour, les créatures appelés Wendigo, semblait avoir totalement disparu de la surface de l'île. Au vu de l'assaut direct, la crémation des corps, il semblait impossible de savoir maintenant, comment le phénomène c'était produit et pourquoi.

On dénote, que les quatre soldats d'Elias envoyés pour faire un compte rendu du problème, n'était jamais revenu et était maintenant, porté disparu.

Cadavre sur un arbre
Il avait été cloué, prêt du campement d'Elias, le cadavre de son jeune frère contre un arbre. Laissant les bêtes charognardes le dépecer à petit feu. Ainsi, Marko dit le Patron avait trouvé une mort finale.

Première neige
Bien que l'hiver n'avait pas encore fait officiellement place, la neige avait commencé à couvrir l'île. La première tombé commençait.

Hiver
L'hiver était fin arrivé, une petite neige parsemais le sol ici et là.

Décès imprévu
Au dessus de la forêt, on avait pu apercevoir une colonne de fumée grimper vers le ciel. Pour ceux qui serait aller en forêt s'assurer de ce qui se tramait, ils auraient pu remarquer une créature tentaculaire, fumante, complètement brûlée de part et d'autres en train de se liquéfier dans la nature.

Plus loin, un humain, complètement brûlée, la chair presque fondu sur les os, gisait non loin du corps de Nyuggoth. Visiblement, la créature avait reçu un châtiment en lien avec la fourberie qu'elle avait fait subir à la colonie. Le temps avait été son ennemi.